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Back online with my Whisky live experience!

De retour ! Après une rentrée un peu mouvementée, je trouve enfin un peu de temps pour écrire de nouveau et je vais essayer de m’améliorer question régularité…

Comme beaucoup d’entre vous le savent, le whisky live était un peu l’évènement de la rentrée pour les professionnels des spiritueux. La situation sanitaire avait eu raison de nos salons, ce qui avait compliqué notre activité. Je suis donc ravie de pouvoir aujourd’hui partager avec vous les quelques coups de coeur que j’ai eus lundi dernier. Comme d’habitude, j’ai joué le jeu jusqu’au bout en ne demandant les prix qu’après dégustation, afin de ne pas être influencée par les tarifs.

Pour sa gourmandise incroyable, sa rondeur et son volume en bouche, le Ben Nevis 10 ans de la collection Artist #11 m’a complètement séduite. Il méritait réellement sa place au milieu d’autres 25, 30 et 40 ans d’âge qui avaient bien du mal à lui faire de l’ombre.

Dans la catégorie des tourbés, les Singles Casks de Kilchoman vieillis en fûts d’oloroso m’ont convaincue par leur équilibre et leur sensation sèche en bouche qui leur rapporte une jolie fraîcheur et leur assure un goût de « reviens-y » sans effacer leur tourbe envoûtante. Que ce soit le 100% Islay Oloroso Butt Single Cask (20ppm) ou le Oloroso Hogshead Single Cask (50ppm), la promesse est tenue.

Bien sûr, d’autres bouteilles m’auront plu également : le Clynelish 28 de la collection Artist #11, le Ben Nevis 24 ans de la collection Single Malts of Scotland, le Lg11 (Lagavulin) série Elements of Islay, le Dewar’s Pure Malt 12 ans (un collector qui n’est pas à la vente !), le Ardmore 2000 de Gordon’s & Macphail’s, les Ichiro’s toujours fidèles à eux-mêmes, les Organic et Bere barley de Bruichladdich… Je ne les citerai pas toutes. J’espère surtout obtenir quelques bouteilles de mes coups de coeur pour que vous puissiez vous aussi en profiter.

Grâce à 3S, j’ai découvert des shochus très surprenants et très plaisants, notamment sur une version blanche patate douce ainsi que sur leurs versions riz et orge vieillies en fûts de mizunara. Des spiritueux qui méritent réellement d’être mieux connus de tous et qui intègreront donc notre cave rapidement.

Enfin, la bonne surprise du salon était de conclure mon parcours de 5 heures en croisant mon ami Adam Spiegel, que je croyais resté aux Etats-Unis à cause des restrictions covid… Toujours un plaisir de croiser le chemin de ce passionné à la tête d’une micro-distillerie qui est à l’origine de mon rye préféré ! Sans mentionner son whisky de blé ou ses bourbons… Believe me guys, that is the real craft!

Vous l’avez compris. La vie « post-covid » semble reprendre. Les dégustations s’enchaînent, les nouveaux produits pullulent. Nous sommes au taquet !

Mon prochain article vous présentera les nouveautés en cave… A très bientôt !